On lui doit plusieurs ouvrages estimés, Truffes noires d’été fraîches qui sont indispensables au diplomate : Précis du droit des gens de l’Europe, Gœtt., 1789, et Paris, 1831; Recueil des principaux traités de paix depuis 1761, Paris, 1791-1800, ouvrage complétant le recueil de Dumont et Rousset, et suivi d’un Supplément publié par lui-même de 1802 à 1818, puis par son fils, le baron Ch. de Martens (en tout 28 vol. Ses poésies, qui eurent beaucoup de vogue de son temps, ont été recueillies en 1724, 2 vol. Nisard, 1842; par M. Beau, 1842 (les Épigrammes y sont distribuées dans un ordre nouveau); il a été mis en vers franç. Lemaire, 1825; de Schneidewin, Grimma, 1842. Il a été traduit par l’abbé de Marolles, 1655, par E. T. Simon, 1819, avec le texte latin et les imitations; par Verger, Dubois et Mangeart, dans la collect. Le Pied de mouton, mélodrame-féerie-comique, représenté pour la 1re fois en 1806, a été repris plusieurs fois et a toujours attiré la foule, malgré l’absurdité de la fable
L’erreur est d’autant plus grande, que rien, dans la préparation et dans les éléments employés, ne justifie l’emploi de cette dénomination. Sauce et homard constituaient, en somme, une préparation unique. Cette sauce est spéciale à la Sole Normande, mais elle a aussi un emploi avantageux dans une infinité de cas. Il avait de la lecture et comme il avait fait une étude particulière de Diderot dont la langue un peu sèche, mais vigoureuse, lui plaisait, Mürger en faisait cas et disait : « Il s’est nourri de la moelle des lions. J’écrivis à notre directeur, M. Horace Vernet, qui, après d’énergiques réclamations, obtint du cardinal Bernetti l’autorisation dont j’avais besoin. Ma mère donc, persuadée qu’en me livrant à la composition musicale (qui, d’après les idées françaises, n’existe pas hors du théâtre) je mettais le pied sur une route conduisant à la déconsidération en ce monda et à la damnation dans l’autre, n’eut pas plus tôt vent de ce qui se passait que son âme se souleva d’indignation. Où est la nécessité de créer des catégories, dont les unes auraient une étiquette qui semblerait les mettre au-dessus des autres et fourniraient ainsi les éléments d’une nouvelle hiérarchie, si ce n’est, pour couvrir de cette égide, toutes commissions, emplois, sinécures, que l’on veut créer, et qui pourraient bien, en effet, constituer un « service » dans la société, mais un de ces mauvais services, dont il serait urgent de se débarrasser sans tarder
Prendre la somme voulue de sauce au beurre, et l’additionner, hors du feu, d’une cuillerée à bouche de moutarde par 2 décilitres et demi de sauce. Sauce Ravigote. – Réduire de moitié 1 décilitre et demi de vin blanc et la même quantité de vinaigre ; ajouter 8 décilitres de Velouté ordinaire, et tenir en ébullition pendant quelques minutes. Réduire le vin de 2 tiers ; puis, mouiller le homard avec : 2 décilitres de crème, 2 décilitres de fumet de poisson ; et laisser cuire doucement pendant 25 minutes. Ajouter 8 décilitres de sauce Allemande ; laisser ébullitionner pendant quelques minutes, et passer à l’étamine. Ajouter 1 demi-litre de crème aigre, laisser ébullitionner pendant 5 minutes ; passer à l’étamine, et tenir de saveur aigrelette, par appui, au besoin, de quelques gouttes de jus de citron. Sauce Orientale. – Prendre 1 demi-litre de sauce Américaine ; la condimenter au currie et la réduire d’un tiers. Sauce Nantua. – Additionner de 2 décilitres de crème, 1 litre de sauce Béchamel, et réduire d’un tiers. Réduire de moitié 2 décilitres de vin du Rhin et 2 décilitres de fonds de poisson additionnés de 20 grammes d’épluchures fraîches de champignons, et de même poids d’épluchures de Truffes noires d’été fraîches crues
Pourtant, il est souventes fois dérogé à cette règle, notamment dans les Restaurants à la carte. Lorsque celui-ci aura produit son effet il vous faudra m’écarter du combat, puis une fois en sécurité vous repartirez dans la mêlée jusqu’à ce que les draconiens aient fini leur propre rituel. Napoléon l’attira dans son salon et s’y enferma avec elle. Toujours dans l’intention de fasciner les yeux de la populace, le prix des comestibles & des vins est fixé ; les dépenses pour la table, pour les funérailles, sont réglées, &c. Martaban anglais est Amherst-Town. Martaban (jadis capit. de tout le roy.); le ch.-l. MARTABAN, v. de l’empire birman, capit. Le Martaban, situé entre l’empire de Siam, le royaume birman proprement dit, la prov. MARTENS (Guill. Fréd. de), diplomate, né à Hambourg en 1756, mort en 1821, fut professeur de droit public à Gœttingue, conseiller du royaume français de Westphalie (1809), puis (1814) ministre du roi de Hanovre qu’il représenta près la diète germanique
Le coup d’état du 2 décembre était une conséquence de l’incertitude dans laquelle la France vit depuis quatre-vingt-dix ans : c’est un incident du mode d’existence qu’elle a adopté. Elle ne croyoit pas la moindre partie de toutes les folies qu’on diſçait que l’amour avoit foit faire dans tous les temps ; & celles qu’elle avoit vues elle-meſme, elle ne les pouvoit comprendre : elle ne connaiſſçait que l’amitié. Le Dante n’y a pas songé dans sa description de l’enfer… VALLA (Joseph), oratorien français, né à l’Hôpital dans le Forez vers 1720, m. en 1790, professa la philosophie et la théologie à Soisson, puis à Lyon, et rédigea par ordre de Montazet, archevêque de Lyon, les Institutiones theologicæ, 1780 et 84, 6 vol. 8 (5e édit., Lyon, 1800, 15 vol. On a sous son nom un magnifique poème épique en langue sanscrite, le Ramayana, où sont racontés les exploits de Rama et sa victoire sur le géant Ravana, roi de Lanka (Ceylan) ; ce poëme se compose d’env. Ensuite, le mensonge est son agent. Valla est sans contredit avec le Pogge l’homme qui de son temps contribua le plus à réveiller l’amour des lettres classiques. Ces tubercules, de grosseur moyenne, se trouvaient de deux sortes, blancs et bleus ; leur forme était très irrégulière, anguleuse-arrondie, plus longue que ronde, et ils montraient çà et là des dépressions, comme si dans le sol très compact leur développement avait dans ces parties rencontré quelque obstacle