Je perds là une bonne tête. Ce projet était arrêté dans ma tête depuis quelques jours. « Les agents mentionnés aux 1° à 7° et au 9° du I de l’article L. 231-2 et, dans les conditions prévues par l’article L. 1435-7 du code de la santé publique, les médecins inspecteurs de santé publique, les ingénieurs du génie sanitaire, les ingénieurs d’études sanitaires, les techniciens sanitaires, les inspecteurs et les contrôleurs des agences régionales de santé veillent au respect des règles fixées en application du présent article. Pour ſavoir ſi ce dernier défaut ſe perpétuoit, ſe communiquoit, & pouvoit être ſaiſi dans les développemens de la fructification du végétal, j’ai planté des pommes de terre skirrheuſes ſeules, je les ai réunies enſuite à d’autres racines ſaines, & j’ai remarqué qu’elles végétoient plus lentement, & que ſi les tubercules se trouvaient exempts de ces nœuds, leur petit nombre devoit les faire rejeter pour la plantation ; enfin, que quand ils avoient ces défauts, il valoit mieux les donner aux beſtiaux, ſans craindre que leur uſage pût être ſuivi d’aucun inconvénient fâcheux
D’après les statistiques officielles, c’est près de 1,000 hectolitres d’amandes que l’on récolte aujourd’hui dans cette grande conque rocheuse, semblable, au printemps, quand les pêchers et amandiers sont épanouis, à une immense corbeille de fleurs ! C’est un étonnant spectacle ; – murs sur murs de puissant calcaire, semblables à une infranchissable barrière, se referment autour de nous, menaçant de dérober la vue du ciel même ; à nos pieds se creuse une passe montagneuse ou vallée, de plus en plus étroite, aux bancs Truffe noire de Bagnoli roche dressés verticalement. Mlle de Montijo aurait répondu : « Je vous tromperais, Sire, si je ne vous avouais pas que mon cœur a parlé, et même plusieurs fois, mais ce que je puis vous assurer, c’est que je suis toujours Mlle de Montijo ! Une si complète modification des impressions optiques n’est pas aisément explicable. En principe, c’est une question depuis longtemps discutée de savoir si, dans une école supérieure comme celle-là, où l’on veut former des jeunes gens déjà habitués à un travail personnel, il vaut mieux un homme de génie enseignant mal qu’un savant de second ordre ayant le talent d’exposer les travaux des autres avec ordre et clarté. Si, à l’aide d’un léger bateau, on s’introduit dans cette fente, on la voit bientôt se voûter en caverne au-dessus d’une forte cascade ; ici la vraie source sort de la terre, ou plutôt de la grotte, et son bruit se perçoit du moulin même, d’où cependant, l’on ne voit pas la chute
’on n’en peut approcher que par des chemins pratiqués au milieu des rochers. On a là une vue ravissante, et l’on suit au loin l’eau miroitante de la rivière sinueuse encaissée entre d’énormes éperons de rochers. Mais des vestiges d’un château plus ancien se voient sur les rochers auxquels il est adossé. Comme une sentinelle, le pittoresque château de Rocheblave, plaqué contre le talus du causse, semble à droite garder cette entrée. « Au premier plan, s’avançant vers l’eau, sur un gros roc qu’une convulsion géologique a jeté au centre de la vallée, est le château de Charbonnières, montrant ses tours et ses remparts éventrés, aux flancs desquels s’accrochent les arbustes et les herbes. Sur la gauche, le rocher des Écoutaz ou des Égoutals doit son nom soit à un écho moins surprenant que celui de Prades, soit aux gouttes d’eau qui suintent de ses encorbellements. ’est en barque que l’on descend pendant 35 kilomètres, c’est-à-dire pendant un jour et demi, tantôt doucement flotté sur les planiols ou plaines d’eau profonde et calme, où le Tarn prend des airs de grand lac, tantôt rapidement entraîné par le courant sur le lit caillouteux des ratchs ou rapides. Celle-ci s’escalade aisément, et, en arrière, le ruisseau souterrain auquel elle sert de déversoir coule torrentueusement dans une large galerie haute de 15 mètres, longue de 60 à 70 ; au bout de cette galerie, un bassin intérieur de 10 mètres de diamètre s’alimente par un orifice que nous trouvâmes entièrement obstrué par le courant
36-a Frédéric désigne plus clairement cette femme galante dans son Épître à Rottembourg, t. Sa première lettre datée des Délices, près de Genève, est du 8 mars 1755. Nous présumons que c’est encore Voltaire que le Roi désigne, quelques lignes plus bas, par le nom de fou, comme il le fait dans ses lettres à Jordan, du 28 novembre 1740, et à Algarotti, du 9 février 1754. Voyez t. C’est précisément pendant cette visite de d’Alembert et en sa présence que mylord Marischal prit congé du Roi, dans l’intention d’aller s’établir définitivement en Écosse; cependant il changea bientôt d’idée, et revint à Sans-Souci. 311-a Ce fragment répond à la lettre précédente, que Frédéric avait communiquée à mylord Marischal. 327-b Mylord Marischal parle ici d’Émété (Emetullah), fille d’un capitaine de janissaires. 304-a De la main de M. de Catt, à qui Frédéric avait adressé, le 15 octobre 1758, le billet suivant, que nous tirons des Mémoires (manuscrits) de ce lecteur du Roi : « Écrivez une lettre bien touchante au pauvre mylord Marischal sur la mort de son frère. Le Roi voulut en vain conserver ce dernier; il fut destitué. C’est là que notre art tantôt sommeille platement et tantôt bouillonne ; c’est là qu’il est à la fois sublime et médiocre, fier et rampant, mendiant et roi ; c’est là qu’on l’exalte et qu’on le méprise, qu’on l’adore et qu’on l’insulte ; c’est à Paris qu’il a des sectateurs fidèles, enthousiastes, intelligents et dévoués, c’est à Paris qu’il parle trop souvent à des sourds, à des idiots, à des sauvages